... salut de nouveau

Wieder auf Reisen.
Du fragst oft nach mir.
Ich telephonier
noch vorm Zubettgehen mit dir.


Freu mich auf den Moment,
wenn ich steh in der Tür,

und du läufst mir jauchzend entgegen.

...

Und dann öffne ich meine Arme für dich.
Ja, dann öffne ich meine Arme für dich!


Dann öffne ich meine Arme, Gerhard Schöne (1992)


Montag, 19. Oktober 2009

N'importe quoi


Tu m'avais dit les mots les plus fous, ceux qu'on ne croît qu'une seule fois
Tout ce que tu veux, si tu veux tout, je te promets n'importe quoi

Tu m'avais dit les mots les plus doux, je n'aimerai jamais que toi
Notre histoire ira jusqu'au bout, tu m'avais dit n'importe quoi

Pour te plaire, j'aurais pu soulever la terre, j'aurais mis le feu à l'enfer
Pour toi, j'aurais pu faire n'importe quoi
Je t'appelais dans la nuit pour te dire n'importe quoi
J'avais si peur que tu m'oublies et de n'être plus rien pour toi
Comme si j'étais n'importe qui, n'importe quoi

Tu disais nous deux c'est plus fort que tout, rien ne nous séparera
De notre amour, le monde entier sera jaloux, tu disais n'importe quoi

Pour te plaire, j'aurais pu soulever la terre, j'aurais mis le feu à l'enfer
Pour toi, j'aurais pu faire n'importe quoi
Je t'appelais dans la nuit pour te dire n'importe quoi
J'avais si peur que tu m'oublies et de n'être plus rien pour toi
Comme si j'étais n'importe qui, n'importe quoi

Pour toi, j'ai marché à genoux, jusqu'à la folie, j'ai porté ma croix
Et pourtant, si ce soir tu revenais chez nous
Va savoir pourquoi, je croirais encore n'importe quoi

N'importe quoi, je t'appelais dans la nuit pour te dire n'importe quoi
J'avais si peur que tu m'oublies et de n'être plus rien pour toi
Comme si j'étais n'importe qui, n'importe quoi
Je t'appelais dans la nuit pour te dire n'importe quoi
J'avais si peur que tu m'oublies et de n'être plus rien sans toi
Comme si j'étais n'importe qui, comme si j'étais n'importe quoi
Je t'appelais dans la nuit, réponds-moi

Éric Lapointe