... salut de nouveau

Wieder auf Reisen.
Du fragst oft nach mir.
Ich telephonier
noch vorm Zubettgehen mit dir.


Freu mich auf den Moment,
wenn ich steh in der Tür,

und du läufst mir jauchzend entgegen.

...

Und dann öffne ich meine Arme für dich.
Ja, dann öffne ich meine Arme für dich!


Dann öffne ich meine Arme, Gerhard Schöne (1992)


Montag, 23. Juli 2012

Le fil des jours

Il fait bon vivre
à l’ombre des jardins
dans le parler des feuilles
et la douceur retrouvée
On pense
à des soleils très purs
capables de nous emporter
au-delà de la haie
parmi les fleurs sauvages
qui n’ont pas de nom
Mais on reste là
à l’abri de son arbre
comme un coquillage
enfoui dans sa terre
Et soudain
une envolée plus claire
nous ouvre le paysage
qu’on attendait.

Marilyse Leroux